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Artiste légendaire, mélodiste hors pair, voix éternelle, Julien Clerc fêtera ses 50 ans de carrière en 2018. Une carrière pleine de classe rythmée par des dizaines de millions de disques vendus, des milliers de dates de concerts. Trois ans après Partout la musique vient (2014) et 1 an après son best of, il est présente un opus marqué par une collaboration inédite avec Calogero qui a réalisé et arrangé cet album. On y retrouve également des textes de Brigitte Fontaine, Carla Bruni, Marc Lavoine, Maxime Le Forestier et Vianney.

Ne vous fiez pas à leur look kitsch 70's, Kadavar est bien un groupe actuel. Pourtant, leur musique s'inscrit en plein dans les années psychédéliques, le mighty Black Sabbath en porte-étendard. Le genre de très bon revival hard-rock / psyché / stoner / doom qui n'a pas à rougir de ses ainés. Ici, on ne s'embarrasse pas de fioritures. Et en l'espace de neuf titres, Kadavar dévoile un sacré potentiel. C'est rock, psychédélique et roots au possible. C'est bougrement efficace.

Lady Sir, c'est la rencontre de deux artistes aux visages multiples : Rachida Brakni et Gaëtan Roussel. Le duo propose son premier single, Le temps passe, ritournelle entœtante, à deux voix, qui revisite la chanson consciente de chez nous. Son clip, réalisé par Jean Gabriel Périot à partir de documentaires et d'actualités en France dans les années 60 - et forcément beaucoup en mai 68 ! - est une lecture quasi onirique de la chanson. Avec ses séquences de manifestations, grèves, occupations d'usines mais aussi ses visages graves, émouvants, combatifs, le clip montre qu'à l'instar de la chanson qui se joue du temps, ces images d'une époque révolue résonnent encore fortement dans notre imaginaire contemporain, appellent une énergie collective.

Elle est devenue une fanfare incontournable des musiques tziganes des balkans, fortement influencée par les musiques roms de la mer Noire.

Nommé "artiste pour la paix" en 2013 par l'UNESCO et porte-parole du projet "La route de l'esclavage", le musicien de renommée internationale souhaitait, selon ses propres mots "remonter à la source des rythmes qui font la richesse de notre héritage musical, de partir de l'Afrique pour les suivre, comme à la trace, jusqu'aux Etats-Unis. Ce périple nous a menés du Mali à Paris, de La Nouvelle-Orléans à Sao Paulo, en passant par les Caraïbes". Afrodeezia, son premier opus Blue Note, reflète ses nouvelles aspirations d'ambassadeur et de messager des grandes musiques noires avec, toujours en filigrane, cette musicalité contagieuse, ce groove unique et ce son de basse reconnaissable entre mille, souvent copié, jamais égalé.

L'album comprend 18 chansons originales, écrites et composées par la québécoise, enregistrées au cours de l'été 2008 à Montréal avec la complicité de Michel Weisinger, camarade de route et réalisateur de l'album précédent, Ma signature.

Auteure-compositrice-interprète et productrice, l'écossaise revient avec lskar. Elle déclare : "J'ai voulu capturer tous les types d'amour dans leurs formes brutes, qu'il s'agisse d'amour romantique, de chagrin d'amour, d'amitié, de passage à l'âge adulte, d'amour familial ou d'amour de soi." Ce disque est le fruit d'une collaboration entre Jack & Coke (Charli XCX, Tove Lo), l'artiste suédois SHY Martin ou encore Manon Grandjean (Stormzy, Dave). Un album entre élégance onirique, pop ambiante minimaliste, ballade cinématographique.

Forte de ses multiples influences musicales, la chanteuse est l'une des candidates les plus remarquées de la saison 4 de The Voice. Entre fragilité et force, sa personnalité si singulière et ses interprétations contrastées ont su séduire son coach Florent Pagny et le public français. Formation classique, musicologie, découverte du jazz, groupes et concepts, départ à New-York... Il y a en Anne Sila une soif d'intensité, un besoin d'excellence, qu'il est difficile de faire rentrer dans une case. Avec le langage de la pop, l'énergie du rock, et aussi un goût pour l'écriture, elle s'invente une place à part, et donne tout de suite envie de se laisser transporter.

Après 2 albums, des 45 tours et un troupeau de participations avec d'autres groupes, Guérilla Poubelle revient avec ce troisième album rempli de titres pleins de slogans et de cynisme, d'humour acide passé au vitriol noir. Des hits punk rock jetés devant le tabernacle de la médiocrité de l'époque...

Grâce et élégance furent au rendez-vous de ces chansons haute couture, faites de structures mélodiques magistralement construites, et de musiques structurées dans des matières fluides et racées. Des chansons bien coupées. Près du corps mais pas trop. Révélatrices de tout ce qui se joue précisément dans un corps où la jeunesse passe encore au-dessus de la maturité. A l'image de la photo de l'album signée du jeune photographe David Uzochukwu, où Raphaël contorsionne sa plastique à la fusion des quatre éléments. De l'air, de l'eau, du feu et de la terre jaillit un geyser de sentiments. En tandem avec Gaëtan Roussel, réalisateur artistique et complice bienveillant, l'album sera enregistré en huit jours. A l'ancienne et en live. Dans une sorte de frénésie et de fièvre qui traversent chacune des chansons. Libéré, apaisé, purifié, et réincarné, Raphaël, avec ses onze chansons magnétiques, va nous soigner, grand guérisseur avec sa musique haute-fidélité.