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Clara Luciani revient avec un album initulé Coeur, un album jouissif aux couleurs disco-moderne, comprenant 11 nouvelles chansons, à la fois dansantes et intimes.

Imaginez le monde comme une vaste patinoire, vous avez pris votre élan et vous ne pouvez plus vous arrœter. Vous avez peur de vous fracasser la tœte contre le premier rocher mais de belles créatures débarquent en tenue légère. Elles balaient devant vous afin de vous permettre d'éviter tous les obstacles et de glisser jusqu'à votre cible. Une bande sonore relaxante vous donne alors la force d'affronter l'hystérie de notre époque avec détachement et nonchalance...

Des textes écrits par des femmes et romancières. Un thème, l'amour, développé sous plusieurs angles. La force des mots, portés par la puissance d'une voix. Celine Dion parle aux femmes et s'adresse aux hommes. Dix femmes pour treize lettres d'amour expédiées depuis la France. L'autre, les autres, l'enfant, la rupture, la force nécessaire, la fragilité inévitable. Il n'est question que d'elles.

Il y a dans cet album six titres en anglais co-écrits avec son ami britannique Stephen Munson.

Elle livre un septième album tantôt fougeux et intrépide, tantôt doux-amer, mais toujours captivant. On y retrouve la liberté d'écriture et la justesse de ton qui sont sa marque de fabrique depuis plus de vingt ans, pour la première fois soulignées par de somptueux arrangements de cordes. Une production qui porte la patte de son réalisateur, Fred Pallem. Deux duos figurent parmi les treize titres de l'album, l'un avec La Maison Tellier et l'autre avec Alexis HK. Deux touches masculines sur un disque où la féminité et la sensualité sont assumées sans être exhibées, où les contrastes font ressortir la sensibilité à fleur de peau d'une artiste qui ne cesse de s'interroger et de s'émerveiller sur les choses de la vie, les grandes comme les petites.

La québecoise nous offre un album émouvant, élégant et d'une sincérité brute, comme elle en a le secret, à l'instar du premier single, Attrape pas froid, ballade à l'écriture ciselée.

Gérard Depardieu, ami intime de Barbara avec qui il interpréta la pièce musicale Lily Passion en 1986, et le pianiste-chef d'orchestre Gérard Daguerre, compagnon de route pendant 17 ans de l'artiste, se sont retrouvés à Précy-Sur-Marne chez Barbara. Ils y ont enregistré ensemble quatorze chansons créées par "La Dame en Noir", comme autant de déclarations d'amour chantées par un Depardieu bouleversé et bouleversant.

Auréolée par la célébration tous azimuts de ses "années américaines", elle a retrouvé le calme de sa maison des bords de Seine, son Bösendorfer et ses innombrables cahiers sur lesquels elle griffonne à toute heure du jour et de la nuit. Véronique Sanson a concocté ce quinzième album studio à la façon d'une mosaïque multicolore : dix titres riches de tous les rythmes, de toutes les musiques qui vivent en elle depuis toujours. On y retrouve l'étendue de son savoir-faire avec pour seul fil rouge sa lucidité, sa sensibilité, mais aussi son vocabulaire, cette syntaxe si particulière, et bien sûr sa voix, très en forme, et deux invités de marque : Zaz pour un duo particulièrement swing et Thomas Dutronc le temps d'une envolée manouche.